French in New-York

Faites vous partie des 29.161 français de l’étranger qui sont déjà inscrits pour voter à la primaire de la droite et du centre ? Non ? Et bien c’est dommage car vous pouvez le faire, sans être inscrit dans un parti politique. Une chance démocratique ? Le moyen d’être sur d’être bien représenté ? On vous explique tout. 

Les 20 et 27 novembre prochain auront lieu les « Primaires de la droite et du centre » qui doit déterminée qui sera le ou la prochaine candidate pour la droite à l’élection présidentielle de 2017 en France. Après un processus de parrainage, 7 candidats ont été retenus pour cette primaire.

Alain Juppé, Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire, François Fillon, Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-François Copé et Jean-Frédéric Poisson. Des noms et des visages que vous connaissez certainement. Quelques éléments sur chaque candidat sur le site Des Echos.

2 euros et une volonté de changement

Si vous êtes expatriés, vous pouvez donc voter à cette primaire. Par internet. Seules conditions : être déjà inscrit sur les listes électorales consulaires (avant le 31 décembre 2015), s’inscrire avant le 16 octobre sur internet et payer 2 euros de frais de participation. Ah oui, il faut aussi cliquer pour dire que vous partagez « les valeurs de la droite et du centre ».

Toutes les infos ici sur le site de la Primaire.

Sachez qu’actuellement, 1000 français de l’étranger s’inscrivent par jour pour cette primaire. Au total, les organisateurs attendent 40.000 votants. Signe que même depuis l’étranger on a un avis sur la question politique et qu’il faut viser au mieux pour éviter que la France ne devienne ce pays irréformable que beaucoup d’expatriés critiquent à longueur de journée. La balle est dans votre camp.

Enfin, sachez que certains candidats ont essayé de verrouiller le vote des français de l’étranger. Nicolas Sarkozy a longtemps refusé que le vote soit électronique. Peur que les Français de l’étranger ne le plébiscitent pas comme lors du vote en 2007 ? Toujours est-il que finalement, c’est bien par internet que vous pouvez voter mais dépêchez-vous. Il vous reste 10 jours pour vous inscrire!!

Les States nous font rêver… TOUS rêver d’une façon ou d’une autre : les gratte-ciel New-Yorkais, la possibilité de tout recommencer à 0, l’aventure des grandes villes, la mode américaines pour certains ou uniquement le côté ultra cosmopolite pour d’autres.

S’expatrier pour une année, pour l’ensemble de ses études, pour un stage ou encore pour travailler va de pair avec la vie trépidante à la new-yorkaise comme on a pu se l’imaginer avec les séries américaines et autres films clichés. Mais la vie est super chère, notamment à New York et tout le monde n’a pas l’épargne nécessaire donc il faut [Read more →]

New York est une destination qui fait rêver les voyageurs du monde entier. En effet, New York est une ville charmante qu’il faut visiter au moins une fois dans sa vie. Célèbre pour ses gratte-ciel, ses musées, ses quartiers branchés, ses fast-foods… « The Big Apple » ne cessera jamais de nous surprendre.

Si vous projetez de voyager à New York très prochainement ? Voici pour vous ce qu’il faut voir dans la « Grosse Pomme » en une semaine. Pour ne rien manquer de votre petite escapade à New York au cours d’un séjour aux États-Unis, voici quelques idées de sorties et d’activités à faire en 7 jours.

Découvrir New York : Jour 1 – cap au sud
Pour votre séjour New York, pourquoi ne pas commencer sa visite par la Statue de la Liberté ? Prenez un ferry pour rejoindre Staten Island et profitez d’une vue imprenable sur la fameuse Statue de la Liberté. Découvrez également le principal lieu d’intérêt de l’île, le mémorial du 11 septembre. Pour trouver des idées de cadeaux originaux, faites un petit détour à Chinatown. Vous pourrez également profiter pour découvrir Little Italy, qui se situe à quelques rues de Chinatown. Après, cap Wall Street pour découvrir les célèbres bureaux de la bourse dans le quartier financier de New York.

Découvrir New York : Jour 2 – Visite et shopping
Après une nuit de repos bien mérité, plein de surprises excitantes vous attendent en cette deuxième journée : visite, découverte, sensations fortes… Direction Times Square ! Êtes-vous prêt pour prendre un bain de foule à Times Square ? Un dépaysement total assuré au pays des superlatifs avec tous ces écrans allumés en permanence (images et publicités)… Si vous avez le temps, vous pourrez profiter pour faire quelques courses. Ensuite, vous pourrez remonter sur la 5th Avenue et grimper au sommet de Top of Rock pour profiter [Read more →]

Les puristes vous diront que tout a changé. Que le Greenwich village d’antan n’est plus qu’un lointain souvenir. Pourtant, malgré son embourgeoisement (les maisons les plus modestes coûtent facilement plus d’un million de dollars) le caractère de cette enclave encore un peu bohème reste fascinante.

Parmi les principales curiosités de ce quartier à ne pas manquer lors de votre prochain séjour à New York, voilà quelques conseils :

➢ Washington Mews (entrée sur 5th avenue) : de très belles résidences cossues qui donnent sur une allée privée. Difficile d’imaginer qu’autrefois, l’endroit était connu pour ses hangars à chevaux.

➢ Washington Square Park (là où commence 5th Avenue) C’est le royaume des amateurs de rollers et des artistes. On y trouve aussi les habitants du quartier qui ont la langue bien pendue. Ici, ancien cimetière d’indigents, on y pratiquait aussi des exécutions… ouais, pas glamour et pourtant aujourd’hui cet arc de triomphe en marbre est l’un des symboles de NYC.

➢ Christopher Park : (entre 7th Avenue South, West 4th Street) Ne manquez pas les statues de George Segal, un couple d’hommes debout et des femmes assises sur un banc. Haut lieu de la revendication pour les droits des homosexuels.

➢ St Luke’s Place : probablement l’un des plus jolies rues de Greenwich. Bordée de maisons italiennes, elle n’a pas pratiquement pas [Read more →]

La presse française vous manque ? C’est parfois difficile de trouver ses magazines préférés quand on habite à l’étranger… Les Inrocks, Première, Cosmopolitain, L’Express, Marianne ou le Canard Enchainé… Idem pour la presse pour enfant !! Où trouver un bon vieux « J’aime lire » ?!

C’est pourquoi « French in New-York » s’associe une nouvelle fois à l’association Uni-Presse qui propose des abonnements à bas prix sur plus de 650 titres de la presse française. Des journaux et magazines directement envoyés chez vous à l’étranger !

Pour la rentrée, des offres spéciales vous proposent des réductions :
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Depuis trois semaines, les Français de l’étranger sont littéralement bombardés d’emails envoyés par les candidats à l’Elysée. Ces messages se glissent le plus souvent dans les spams, entre deux propositions de « penis enlargment ». La raison de ces courriels est simple : un électeur sur quarante environ est établi hors de France. Un chiffre qui n’a pas échappé aux politiques, qui nous font la cour. Qu’il est bon (ou pas ?) de compter parmi les chouchous de la campagne !

Le premier à dégainer a été fhollande@francoishollande.fr, dès le 29 mars, avec son mail intitulé « Je porte un projet pour tous les Français » où il s’adresse à nous, Français de l’étranger, « ambassadeurs permanents de la France dans le monde ». Rien que ça! François Bayrou lui a emboîté le pas le lendemain avec son « Message aux Français hors de France ».

Marine Le Pen, elle, a attendu le 5 avril pour nous écrire : dès l’objet, elle prend soin de préciser que « vous recevez ce message car vous êtes inscrit-e sur la liste électorale consulaire de votre pays de résidence ». En effet, l’article L330-4 du Code électoral autorise les équipes de campagne à obtenir les listes électorales auprès des consulats, et avec elles, nos adresses mail. Tous ces candidats au pouvoir suprême peuvent ainsi s’adresser aux 2,5 millions de Français de l’étranger. Mais ils ont surtout en tête le million d’expatriés inscrits sur les listes électorales (soit 400 000 de plus qu’en 2007 tout de même).

Nicolas Sarkozy, serial spammer

Le plus actif reste certainement Nicolas Sarkozy : premier mail le 12 mars. Un autre dans la foulée de sa proposition d’imposer les exilés fiscaux, afin de préciser que « les expatriés, eux, participent puissamment au rayonnement de la France à l’étranger et qu’ils ne sont en aucun cas concernés par cette mesure ». Encore un message après la tuerie de Toulouse, pour rappeler que « la France est une grande démocratie qui ne cédera pas à la menace ». Et le dernier en date, la « Lettre au peuple français », envoyée le 6 avril.

Visiblement, il a pris connaissance de l’enquête Opinion Way pour TV5 Monde et Le Petit Journal : 37% des Français expatriés voteraient pour lui au premier tour (soit dix points de plus que pour François Hollande). Mais patatras, au deuxième tour, le champion de la droite n’obtiendrait que 51% de leurs voix, contre 54% en 2007 (près d’un point de plus que pour l’ensemble des résultats au niveau national).

N’oublions pas Eva Joly, la dernière à ce jour à avoir pensé à nous : c’était le 11 avril. Sa lettre, ô combien flatteuse, avait de quoi revigorer le plus déprimé des expats’ : « Français de l’étranger, votre expérience hors de nos frontières est un atout pour comprendre le contexte international. Vous êtes aussi cette France cosmopolite et ouverte ». Mais qui en doutait ?!

[ post by Laure ]

En 2008, quand le président Nicolas Sarkozy était venu à Londres pour draguer les Français de l’étranger, il avait lancé un mémorable « n’oubliez pas votre pays » : une manière de promettre à ceux qui avaient quitté l’hexagone que le pays allait changer… 4 ans plus tard, une crise après, ce qui a changé, c’est surtout le ton.

Aujourd’hui, le candidat Nicolas Sarkozy propose de créer un impôt appliqué aux revenus du capital des exilés fiscaux, les forçant à s’acquitter auprès du fisc français de la différence entre l’impôt payé à l’étranger et ce qu’ils auraient eu à verser en France. Une taxe qui pourrait rapporter 500 millions d’euros à Bercy.

70% des Français pour taxer les exilés

Comme l’étranger (tout court), le Français de l’étranger est donc pointé du doigt. Oh, évidemment Sarkozy tente de ne pas mélanger les gentils expatriés (partis pour travailler) et les méchants exilés (partis pour des raisons fiscales). Mais la réalité rattrape cette proposition : il n’y a en pratique pas de distinction. Expatriés, exilés… un seul statut : celui de non-résident.

Techniquement, une telle mesure serait très compliquée. Elle nécessiterait de renégocier des conventions fiscales avec plus de 130 pays. Et puis, quand on voit les méthodes de contournements fiscales mises en place par les plus riches pour ne pas payer d’impôts, il y aura des failles, c’est certain…

Comme si tous les Français partaient pour le pognon…

Une nouvelle fois, ce débat révèle l’incompréhension entre Français de France et Français de l’étranger. Pour certains Français de France, le Français de l’étranger est obligatoirement parti pour des raisons fiscales. Ou pour faire fortune. Ou les deux. Bref, la dimension sociale, affective, aventureuse, amoureuse ou même professionnelle ne semble pas lui traverser l’esprit.

Vouloir que les Français expatriés paient leur passeport comme les Américains est une question qui mérite peut-être être un débat. Mais franchement, c’est un peu comme le hallal, on se demande vraiment s’il n’y a pas des thèmes de campagne plus importants.

Ce que m’inspire ce débat, c’est qu’encore une fois, au lieu de travailler sur la manière dont on peut faire revenir les talents et les fortunes, au lieu de rendre attractive l’économie française et sa (possible) croissance, on crée une diversion avec un cliché électoraliste.

En 2007, le candidat Sarkozy lançait son slogan « ensemble tout est possible »… Avec de telles prises de position, on risque de cultiver le « ailleurs, tout devient possible »…

[ post by Jean-Rémi ]

New York (/nuː ˈjɔrk/ Prononciation du titre dans sa version originale), officiellement City of New York, autrement connue sous les noms et abréviations de New York City, NY ou encore NYC, est une ville du Nord-Est des États-Unis, située sur la côte atlantique, à l’extrémité sud-est de l’État de New York. La ville se compose de cinq arrondissements appelés « boroughs » : Manhattan, Brooklyn, Queens, le Bronx et Staten Island. Ceux-ci coïncident avec cinq comtés de l’État de New York que sont respectivement ceux de : New York, Kings, Queens, Bronx et Richmond.

New York regroupe aujourd’hui l’ensemble des caractéristiques d’une ville mondiale ; elle est même parfois considérée comme « la capitale du monde3 ». Si elle n’est plus la capitale fédérale des États-Unis depuis plus de deux sièclesnotes 1, New York n’en est pas moins la ville la plus peuplée du pays avec 8 175 133 habitants selon le Bureau du recensement des États-Unis (2010). Au cœur de la mégalopole du BosWashnotes , son agglomération de 19 069 796 habitants s’étend sur plusieurs comtés de l’État de New York et empiète sur deux états limitrophes : le New Jersey et le Connecticut. Son aire urbaine compte, en 2009, 25 933 312 habitants. New York accueille des institutions d’importance mondiale. On peut notamment citer le siège de l’ONU, le New York Stock Exchange, mais aussi de nombreux sièges de multinationales et des centres culturels et universitaires tels que le Metropolitan Museum, le Brooklyn Museum, le MoMA, le Lincoln Center ou l’université Columbia, l’université de New York et l’université de la Ville de New York.